Le but initial de la triangulation consiste à connaître la forme et les dimensions de l’ellipsoïde terrestre, puis d’autres objectifs sont venus s’y ajouter ; ainsi elle a servi :
• d’ossature à la carte de France à petite échelle.
• de base à l’établissement des plans cadastraux à moyenne échelle.
• de canevas pour les plans à grande échelle établis pour les grands travaux .
• aux besoins militaires.
L’évolution a imposé des plans à des échelles de plus en plus grandes et donc des canevas de plus en plus précis :
• en 1792, Méchain (1744 –1804) et Delambre (1749–1822) ont mesuré l’arc de méridien de Dunkerque à Barcelone en vue de la détermination de l’unité de longueur. Cette chaîne méridienne fut le point de départ de la triangulation qui a servi de base à la carte d’état-major au 1/80 000.
• en 1873 débutent les travaux de la Nouvelle Triangulation Française (NTF). Mais il n’a pas été possible d’utiliser les points de l’ancienne car la précision s’est avérée insuffisante, de nombreux points étant des pins, hêtres, rochers gravés, tours, d’une conservation douteuse. On a donc cherché à constituer plusieurs ordres de triangulation avec des visées suffisamment nombreuses situées dans les différents quadrants et de longueur homogène. Les points ont été matérialisés par des bornes d’importance plus ou moins grande selon l’ordre.
• en 1991, année de la dernière campagne de géodésie classique de l’IGN, la NTF a été déclarée achevée : elle s’était régulièrement enrichie au fil des années par densification à partir du réseau de 1er ordre jusqu’à atteindre une densité d’un point pour 9 km2 environ avec le 4e ordre.
Ses 70 000 sites géodésiques (sans compter les points de 5e ordre) sont uniformément répartis sur le territoire national avec une précision relative moyenne de l’ordre de 10–5 (c’est-à-dire plusieurs centimètres au mieux par rapport au point le plus proche).
• le nouveau système géodésique RGF 93 est en préparation.
• d’ossature à la carte de France à petite échelle.
• de base à l’établissement des plans cadastraux à moyenne échelle.
• de canevas pour les plans à grande échelle établis pour les grands travaux .
• aux besoins militaires.
L’évolution a imposé des plans à des échelles de plus en plus grandes et donc des canevas de plus en plus précis :
• en 1792, Méchain (1744 –1804) et Delambre (1749–1822) ont mesuré l’arc de méridien de Dunkerque à Barcelone en vue de la détermination de l’unité de longueur. Cette chaîne méridienne fut le point de départ de la triangulation qui a servi de base à la carte d’état-major au 1/80 000.
• en 1873 débutent les travaux de la Nouvelle Triangulation Française (NTF). Mais il n’a pas été possible d’utiliser les points de l’ancienne car la précision s’est avérée insuffisante, de nombreux points étant des pins, hêtres, rochers gravés, tours, d’une conservation douteuse. On a donc cherché à constituer plusieurs ordres de triangulation avec des visées suffisamment nombreuses situées dans les différents quadrants et de longueur homogène. Les points ont été matérialisés par des bornes d’importance plus ou moins grande selon l’ordre.
• en 1991, année de la dernière campagne de géodésie classique de l’IGN, la NTF a été déclarée achevée : elle s’était régulièrement enrichie au fil des années par densification à partir du réseau de 1er ordre jusqu’à atteindre une densité d’un point pour 9 km2 environ avec le 4e ordre.
Ses 70 000 sites géodésiques (sans compter les points de 5e ordre) sont uniformément répartis sur le territoire national avec une précision relative moyenne de l’ordre de 10–5 (c’est-à-dire plusieurs centimètres au mieux par rapport au point le plus proche).
• le nouveau système géodésique RGF 93 est en préparation.
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