L’opération de la stéréoprépation : consiste à
l’équipement de chaque couple
stéréoscopique au minimum par trois points
de contrôle. Les
coordonnées
de ces points sont déterminées par des procédés
topographiques
directement sur le terrain.
Le
point de calage (GCP) :
En stéréopréparation, point déterminé en position planimétrique et/ou en
altimétrie à partir d’un canevas de stéréopréparation par des opérations
topométriques sur le terrain, et qui est identifié sur les photographies. Pour
éviter cette identification, il est parfois procédé à un pré-balisage.
Le
point de vérification : un point connu en coordonnées X, Y et /ou H qui
n’entre pas dans les calculs.
La
mise en place des couples stéréoscopiques :
- L’ensemble des méthodes permettant la reconstitution des gerbes perspectives soit analogiquement, analytiquement ou bien par des moyens numériques.
- La reconstitution de la position spatiale des gerbes perspectives au moment de la prise de vue aérienne , qui consiste à la réalisation de l’orientation intérieure ,orientation relative et orientation absolue du couple stéréoscopique a fin d’avoir un modèle du terrain à l’échelle voulue et l’orientement voulue.
- L’ensemble des méthodes permettant la reconstitution des gerbes perspectives soit analogiquement, analytiquement ou bien par des moyens numériques.
- La reconstitution de la position spatiale des gerbes perspectives au moment de la prise de vue aérienne , qui consiste à la réalisation de l’orientation intérieure ,orientation relative et orientation absolue du couple stéréoscopique a fin d’avoir un modèle du terrain à l’échelle voulue et l’orientement voulue.
Orientation intérieure :
q Dans le but de reconstituer la gerbe produite lors de la prise de vue.
Opération, qui correspond à l’action de reconstituer le mieux possible la
position de l’image dans la caméra à l’instant de l’observation.
q Les étapes requises comprennent:
- Préparation de la diapositive au format approprié (cas d'appareils
travaillant avec un format réduit).
- Élimination de la distorsion radiale introduite par la lentille de
la caméra aérienne.
- Centrage des clichés de sorte que le point principal de la
diapositive soit sur l'axe optique de la lentille du projecteur.
- Introduction de la distance principale.
Après l'orientation interne, les rayons correspondant provenant des 2
projecteurs ne s'intersectés pas en général dans l'espace modèle. Le décalage
est décomposé en 2 composantes: Px et Py appelées parallaxe en x et parallaxe
en y.
La parallaxe en x est fonction seulement de l'élévation et peut être
éliminée en chaque point en élevant ou en abaissant le plan de projection ou
bien en translatant l'un des projecteurs en Bx.
La parallaxe en y qui reste est systématiquement éliminée par l'opération
de l'orientation relative.
Orientation externe :
Nécessite la connaissance:
- de la position des points de prise de vues.
- l'orientement des faisceaux perspectifs au moment précis de la prise de vues.
Les paramètres qui déterminent cette orientation externe sont au nombre de six par cliché. Les coordonnées X0, Y0, Z0 du centre perspectif et les éléments de rotation kappa (k), phi (j), oméga (w).
Orientation absolue :
L’image plastique ainsi constituée est une maquette rigide à laquelle
il faut faire subir des variations d'échelle, des basculements en x et y et
translations jusqu'à ce que les points de calage coïncident avec ceux du
terrain en planimétrie et altimétrie (compte tenu de l'échelle bien sur).
Une opération qui s’effectue en deux étapes :
La mise à l’échelle : qui consiste à donner au stéréomodèle
l’échelle voulue.
Le basculement : qui consiste à déplacer d’un seul bloc les deux
gerbes perspectives jusqu'à ce que les verticales du modèle soient parallèles à
celles du terrain.
q Le mode opératoire de la réalisation de l’orientation absolue :
Le repérage des points de contrôle sur la feuille de dessin a
l’échelle voulue.
Chercher le point 1 dans le stéréomodèle et pointer le avec ballonnet
et ensuite donner à la feuille une translation X0 et Y0 jusqu'à ce que le
crayon du pantographe se trouve exactement sur le point 1.
Chercher le point 2 dans le stéréomodèle et pointer le avec ballonnet
et ensuite donner a la feuille la rotation K jusqu'à ce que le bras du
pantographe se trouve sur l’alignement de la ligne 12.
La mise à l’échelle : qui consiste a calculé une valeur
amélioré de la base B à fin de donner au
modèle l’échelle voulue (échelle de la carte).
La distance 12 modèle
La distance 12
terrain
L’échelle du
stéréomodèle est
Mesure la base (b) du
stéréomodèle.
La nouvelle base à
introduire à l’appareil est :
Le basculement transversal : la ligne joignant les points 1
et 2 est parallèle à l’axe des Y.
pointer le point 1 et introduire la cote Z1 dans la réglette
(translation Z0). Puis pointer le point 2 et lire la cote affichée sur la
réglette Z2 affiché.
Le basculement longitudinal : la ligne joignant les points 1 et 3
est parallèle à l’axe des X. pointer le point 3 et lire la cote affichée sur la
réglette Z3 affiché.
Une fois que notre l’orientation absolue est achevée on peut commencer
la restitution.
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